D’après le registre des constructions nouvelles, Jules Béchu, assureur-conseil parisien domicilié dans le 6e arrondissement, fit construire en 1926 une villa sur la parcelle 700 du plan cadastral de 1831 (section C, feuille 2). Alors vierge de toute construction, cette parcelle était bordée au nord par le chemin montant de la plage d'Uhabia au quartier de Parlementia et conduisant notamment à la chapelle Saint-Joseph. D'après la tradition orale, l’architecte Henri Rateau serait l'auteur de cette maison de villégiature.
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bidart (commune)
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Commune
Bidart
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Lieu-dit
Parlementia
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Adresse
5 chemin de Parlementia
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Cadastre
2017
AN
112, 117, 118
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature
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AppellationsVilla Costa Aldea
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Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle
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Dates
- 1926, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Rateau Henriarchitecte (incertitude), attribution par tradition oraleRateau Henri
Henri Rateau s'est installé à Bidart en 1924 où il a réalisé de nombreuses maisons de villégiature. Il est l'auteur du groupe scolaire (1932), de la mairie (1937) et du bureau de Poste. Son cabinet d'architecte était aménagé dans sa maison, "Les Tamaris", rue des Tamaris, à proximité du sanatorium des Embruns. Au cours de sa carrière, il a travaillé en association avec l'architecte Marras.
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Auteur :
Implantée le long du chemin de Parlementia, dominant dans cette portion la plage d'Uhabia, la maison est isolée sur sa parcelle et fait donc face à l’océan. Elle présente toutes les caractéristiques de l'architecture régionaliste néo-basque. Elle se compose d’un étage de soubassement en moellon, d’un rez-de-chaussée surélevé, d’un étage carré et d’une toiture à deux pans dissymétriques. Les façades sont enduites. Sa façade principale présente trois niveaux d’élévation et trois travées, la travée de gauche est en retrait tandis que la travée de droite n’a pas de soubassement. La composition dissymétrique est accentuée par le désaxement de la panne faîtière. Le rez-de-chaussée est percé de baies cintrées. Un perron précède la porte d’entrée. L’étage présente un faux pan de bois maçonné et peint et un balcon. Le pignon couvert est décoré de quatre triangles peints faisant référence aux anciennes baies d'aération des fermes labourdines. La saillie des murs gouttereaux et de refend portées par des consoles rythme la façade. Le débord de toit repose sur des pannes formant consoles et sur un aisselier.
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Murs
- enduit
- faux pan de bois
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Toitstuile creuse
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Étagesétage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
- (c) Commune de Bidart
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Plan cadastral de 1831 : détail parcelle 700, section C, feuille 2.
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- (c) Commune de Bidart
Jules Béchu et sa fille devant le portail de la villa, photographie, 2e quart du 20e siècle.
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Vue de la façade principale, en 1994.
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Vue d'ensemble depuis le nord.
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue d'ensemble depuis le nord-ouest.
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Détail du dossier de chaise : femme portant l'eau.
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Détail du dossier de chaise : homme portant un chistera.
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Vue de la villa depuis le jardin (est).
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Chargée d'inventaire du patrimoine bâti à la mairie de Bidart.
Chargée d'inventaire du patrimoine bâti à la mairie de Bidart.