Ostensoir exécuté par l'orfèvre parisien Placide Poussielgue-Rusand (actif de 1847 à 1889). Le modèle figure sous le n° 513 dans le catalogue édité par la fabrique après 1880. Trois autres exemplaires furent offerts par l'empereur Napoléon III aux églises landaises de Morganx (canton d'Hagetmau, réf. IM40003746), de Tercis-les-Bains (canton de Dax sud) et de Maylis (canton de Mugron) ; un autre, à l'église d'Argelos (Pyrénées-Atlantiques, réf. IM64001145).
Dossier d’œuvre objet IM40006104
| Réalisé par
Maisonnave Jean-Philippe
Maisonnave Jean-Philippe
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- inventaire topographique, patrimoine mobilier des Landes
Ostensoir (n° 2),
Église paroissiale Sainte-Quitterie
Auteur
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Maisonnave Jean-PhilippeMaisonnave Jean-PhilippeCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Copyright
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Mugron
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Commune
Toulouzette
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Emplacement dans l'édifice
sacristie
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Dénominationsostensoir
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Numérotation artificielle2
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Période(s)
- Principale : 2e moitié 19e siècle
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Lieu d'exécutionCommune : Paris
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Auteur(s)
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Auteur :
Poussielgue-Rusand PlacideorfèvrePoussielgue-Rusand PlacideCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Base hexagonale et tige en bronze, nuée centrale de la gloire en laiton, rayons en argent doré ; l'ange de la tige est fondu.
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Catégoriesorfèvrerie, bronze d'art
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Structures
- pied, polygonal
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Matériaux
- argent, repoussé, ciselé au trait, ciselé au mat, décor dans la masse, doré
- laiton, repoussé, ciselé, argenté
- bronze, ciselé, argenté
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Mesures
- h : 79
- la : 36,5 (largeur de la gloire)
- la : 24,5 (largeur totale de la base)
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Iconographies
- Agneau mystique, Triangle trinitaire, ange, palmier
- ornementation, console, feuille d'acanthe
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Précision représentations
Agneau mystique dans un médaillon sur la face du pied, triangle trinitaire au revers ; tige constituée d'un palmier auquel s'adosse un ange en pied, tenant un livre et désignant le ciel. Pieds de la base en forme de consoles en volute ornées de feuilles d'acanthe.
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Inscriptions & marques
- garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973
- poinçon de fabricant
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Précision inscriptions
Poinçons sur la gloire, sur l'anneau de la lunette et sur la lunule. Poinçon de fabricant : P P R, une ancre et une croix en sautoir, un cœur enflammé, une étoile (losange horizontal).
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Statut de la propriétépropriété de la commune
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Documents figurés
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POUSSIELGUE-RUSAND Placide. Catalogue de la maison Poussielgue-Rusand. Paris, après 1880.
Date d'enquête 2014 ;
Date(s) de rédaction
2016
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maisonnave Jean-Philippe
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Édifice
Église paroissiale Sainte-Quitterie
Commune : Toulouzette
Orfèvre et bronzier parisien, né à Paris le 9 septembre 1824 et mort dans la même ville le 29 décembre1889. Fils du libraire Jean-Baptiste Poussielgue (fondateur en 1833 de la "Librairie ecclésiastique et classique" au 9, rue Hautefeuille) et de Marguerite Rusand (fille de l’imprimeur lyonnais Mathieu-Placide Rusand). Devenu orfèvre en 1847, Placide Poussielgue-Rusand rachète en 1849 le fonds de la maison Choiselat-Gallien, puis celui de Louis Bachelet entre 1880 et 1890. Le succès de sa production, assuré par la vente sur catalogue, lui vaut des prix aux expositions universelle de 1851 à 1878 et la commande d'oeuvres prestigieuses comme le reliquaire de la Couronne d'épines (1862) ou le grand lutrin (1868) de la cathédrale de Paris. À sa mort, la fabrique, devenue quasi industrielle, est renommée Maison Poussielgue-Rusand Fils et passe à son fils Maurice (1861-1933), puis à son petit-fils Jean-Marie (1895-1967), qui ferme l'entreprise en 1963.