Dossier de présentation du mobilier IM40005057 | Réalisé par
  • inventaire topographique, patrimoine mobilier des Landes
Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Étienne, Église paroissiale Saint-Étienne
Copyright
  • (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Montfort-en-Chalosse
  • Parties constituantes non étudiées
    lambris de demi-revêtement, tableau commémoratif des morts, croix de cimetière, verrière, confessionnal, fonts baptismaux, bénitier, clôture de choeur, clôture des fonts baptismaux, prie-Dieu, fauteuil de célébrant, tabouret de célébrant, armoire de sacristie, chandelier funéraire, dais de procession, lustre d'église, chandelier d'autel, croix d'autel, clochette d'autel, sonnette d'autel, encensoir, navette à encens, seau à eau bénite, goupillon, bannière de procession, croix de procession, chemin de croix, croix, chandelier d'église, chape, ornement, statue, harmonium

Le mobilier de l'église de Nousse est aussi peu documenté que l'édifice lui-même. L'ensemble actuel est postérieur à la Révolution dans sa totalité ; les deux éléments les plus anciens, la chaire à prêcher et une armoire de sacristie, sont datables des premières décennies du XIXe siècle. En 1831, le doreur Guilhaume Lagarde de Saint-Sever exécute des "travaux d'embellissement" de nature non spécifiée. Le reste du mobilier et du décor - maître-autel et autels secondaires, confessionnal, bénitier, meuble de sacristie, statues de série (dont deux par la fabrique toulousaine Giscard) - fut installé entre les années 1840 et le début du XXe siècle. Les deux cloches ont été fondues respectivement par le Dacquois F.-D. Delestan en 1841 et par le Toulousain A. Vinel en 1922. Les objets du culte en métal précieux, dont l'ensemble est incomplet - un calice et un jeu de burettes ont récemment disparu -, sont l’œuvre d'orfèvres lyonnais, les maisons Favier frères et Villard et Fabre.

  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Giscard
      Giscard

      Manufacture de sculptures en terre cuite et plâtre, fondée à Toulouse par Jean-Baptiste Giscard (1818-1906), auquel succédèrent, de père en fils, Bernard (1851-1926), Henri (1895-1985) et Joseph (1931-2005).

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      fabricant de statues signature
    • Auteur :
      Lagarde Guilhaume , dit(e) Lagarde aîné
      Lagarde Guilhaume

      Doreur à Saint-Sever (Landes), né à Saint-Sever le 16 pluviôse an VI (4 février 1798) et mort dans la même ville (rue de la Guillerie) le 1er janvier 1870 ; fils aîné de Pierre Lagarde (mort le 26 octobre 1832) et de Madeleine Bichambre (morte à Saint-Sever le 26 octobre 1858) et frère du menuisier et sculpteur Raymond Lagarde "cadet" (1803-1875). L'activité de Guillaume Lagarde est documentée en 1826 (Rion-des-Landes),1831, 1837-1838, 1839 (Laluque) et 1861. Il épousa à Toulouzette, le 11 février 1830, Jeanne Pauline dite Apolline Despouys (Toulouzette, 19 pluviôse an IX / 8 février 1801 - Saint-Sever, 6 juin 1880), fille de Bernard Arnaud Despouys (issu d'une famille de doreurs) et de Catherine Darrieux (source : AD Landes, 4 E 282/42 et 4 E 282/53).

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      doreur attribution par source

Documents d'archives

  • Inventaire des biens dépendant de la fabrique, 6 mars 1906.

    Archives départementales des Landes : 70 V 242/8
  • Compte de gestion de la fabrique, 1894-1906.

    Archives départementales des Landes : 70 V 242/9
  • Le clocher de Nousse. Périodique, 1929-1970.

    Archives départementales des Landes : Per Gd 4° 56

Annexes

  • Liste des oeuvres non étudiées
Date d'enquête 2013 ; Date(s) de rédaction 2015
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Édifice