Ces chandeliers, inspirés d'un modèle médiéval, correspondent au n° 1066 du catalogue de la maison parisienne Poussielgue-Rusand, paru après 1880. L'église d'Herré (canton de Gabarret) en conserve d'autres exemplaires dans une taille réduite (réf. IM40003318).
Dossier d’œuvre objet IM40004197
| Réalisé par
Maisonnave Jean-Philippe
Maisonnave Jean-Philippe
Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- inventaire topographique
Ensemble de 2 chandeliers d'autel,
Église paroissiale Saint-Barthélemy
Auteur
-
Maisonnave Jean-PhilippeMaisonnave Jean-PhilippeCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Copyright
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
Localisation
-
Aire d'étude et canton
Dax sud
-
Commune
Saint-Pandelon
-
Emplacement dans l'édifice
choeur
-
Dénominationschandelier d'autel
-
Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
-
Lieu d'exécutionÉdifice ou site : Ile-de-France, 75, Paris
-
Auteur(s)
-
Auteur :
Poussielgue-Rusand PlacidebronzierPoussielgue-Rusand PlacideCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
-
Auteur :
Style néogothique. Pied triangulaire tréflé sur empattements, tige octogonale avec noeud torique plat, bobèche circulaire, broche. Sans décor.
-
Catégoriesbronze d'art
-
Structures
- pied, triangulaire
-
Matériaux
- laiton, peint, doré
-
Précision dimensions
h = 49,5 (avec la broche : 57) ; la = 17,7.
-
Statut de la propriétépropriété de la commune
- (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Date d'enquête 2011 ;
Date(s) de rédaction
2011
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maisonnave Jean-Philippe
Maisonnave Jean-Philippe
Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Édifice
Église paroissiale Saint-Barthélemy
Commune : Saint-Pandelon
Orfèvre et bronzier parisien, né à Paris le 9 septembre 1824 et mort dans la même ville le 29 décembre1889. Fils du libraire Jean-Baptiste Poussielgue (fondateur en 1833 de la "Librairie ecclésiastique et classique" au 9, rue Hautefeuille) et de Marguerite Rusand (fille de l’imprimeur lyonnais Mathieu-Placide Rusand). Devenu orfèvre en 1847, Placide Poussielgue-Rusand rachète en 1849 le fonds de la maison Choiselat-Gallien, puis celui de Louis Bachelet entre 1880 et 1890. Le succès de sa production, assuré par la vente sur catalogue, lui vaut des prix aux expositions universelle de 1851 à 1878 et la commande d'oeuvres prestigieuses comme le reliquaire de la Couronne d'épines (1862) ou le grand lutrin (1868) de la cathédrale de Paris. À sa mort, la fabrique, devenue quasi industrielle, est renommée Maison Poussielgue-Rusand Fils et passe à son fils Maurice (1861-1933), puis à son petit-fils Jean-Marie (1895-1967), qui ferme l'entreprise en 1963.